Programme 2025

MUSIQUES CUBAINES ET SALSA AFRO-LATINE

Retour place de la Révolution pour ce moment d’ouverture musical gratuit, avec Colectivo Caliente, équipe tropicale et festive qui va faire chalouper les corps dans une mer caribéenne de tumbaos syncopés ! Ces artistes réunis autour des musiques cubaines, mais aussi afro-latines, ont la volonté de faire vivre l’héritage culturel des Amériques Noires par la musique, le chant et la danse, notamment avec l’héritage du « son cubano » : il a donné naissance à la salsa qui a ensuite irrigué toutes les Amériques et fait danser le monde entier.

Leonard Bernstein
Three Dance Episodes from « On the Town »

Carolina Eyck
Remembrance pour thérémine et orchestre

Régis Campo
Dancefloor with Pulsing pour thérémine et orchestre

Georges Bizet
Symphonie en Ut

Pour le concert symphonique d’ouverture du Festival dans son nouveau format en salle, un programme fou de tempérament : Three Dance Episodes tirées de la comédie musicale new-yorkaise On the Town et la pétillante Symphonie en Ut du jeune Bizet encadrent la création de Régis Campo, pièce spectaculaire et insolite, autant inspirée par Steve Reich que par Daft Punk !

L’énigmatique thérémine, instrument électronique inventé en 1920, aux sons sphériques et envoûtants, se joue sans contact physique grâce à des ondes électromagnétiques. Captivant, mystérieux, énergique et populaire !

Pierre-Yves Fleury, orgue
Nicolas Mathuriau, percussions

Pierre Cochereau
Boléro

Camille Saint-Saëns
Le cygne, Aquarium
(extraits du Carnaval des Animaux)

Jean-Louis Florentz
Seigneur des Lumières (extrait de Laudes)

Jean-Baptiste Lully
Marche pour la Cérémonie des Turcs

Erik Satie
Gnossienne n°3

Lefébure Wély
Boléro de concert

Camille Saint-Saëns
La Danse Macabre (extrait)

Georges Bizet
Agnus Dei

César Franck 
Pièce héroïque

Instrument roi, orchestre à lui tout seul, l’orgue possède une richesse de sonorités et un répertoire qui s’étend bien au-delà de la musique religieuse. Pierre-Yves Fleury nous propose une découverte de l’univers de l’orgue, dans une approche originale en duo avec Nicolas Mathuriau aux percussions. Le fil rouge du programme est les compositeurs français, depuis Lully jusqu’aux grands noms du XX^e siècle comme Satie, avec notamment un étonnant boléro de Pierre Cochereau, célèbre organiste titulaire de Notre-Dame de Paris.

C’est une véritable fête de la musique qui va investir la boucle du Doubs pendant une journée. Kiosque du Parc Micaud, église de la Madeleine, places et rues piétonnes, cour du musée du Temps, Citadelle Vauban et place de la Révolution vont accueillir sept concerts gratuits de styles variés : du classique au jazz, des musiques du monde à la musique baroque mêlée au folk.

Quintette de cuivres, big band de jazz, clarinette et cordes, grand orgue et percussions, musique de rue en déambulation, tous ces artistes vous invitent à la découverte pour entamer ces deux folles semaines de Festival.

Le programme complet :

Orgue & percussions | 11h, Eglise de la Madeleine
Cuivres au kiosque | 14h, Kiosque Parc Micaud
La Vertu dans la rue | 15h, Centre-ville
Danza | 16h & 17h, Cour du musée du Temps
Songs of Oblivion | 18h, Hangar aux manœuvres, Citadelle
Big band jazz | 19h, Place de la Révolution

Quintette Alliance :
Éric Planté et Nicolas Puisais, trompettes
Hamid Medjebeur, trombone
Philippe Constant, cor
Éric Varion, tuba

Œuvres de Vivaldi, Berlioz, André Lafosse, Gerswhin, Michel Legrand, Piazzolla, Joe Hisaishi…

Le charmant kiosque de la promenade Micaud est l’écrin idéal pour une balade musicale mêlant classique, tango, jazz et musiques de films, interprétée par la formation la plus équilibrée issue de la famille des cuivres : le quintette. Créé en 1998, le Quintette Alliance, composé de musiciens issus des Conservatoires Supérieurs de Paris, Lyon et Genève, nous propose un florilège d’œuvres originales pour quintette et de transcriptions de pages célèbres.

C’est une véritable fête de la musique qui va investir la boucle du Doubs pendant une journée. Kiosque du Parc Micaud, église de la Madeleine, places et rues piétonnes, cour du musée du Temps, Citadelle Vauban et place de la Révolution vont accueillir sept concerts gratuits de styles variés : du classique au jazz, des musiques du monde à la musique baroque mêlée au folk.

Quintette de cuivres, big band de jazz, clarinette et cordes, grand orgue et percussions, musique de rue en déambulation, tous ces artistes vous invitent à la découverte pour entamer ces deux folles semaines de Festival.

Le programme complet :

Orgue & percussions | 11h, Eglise de la Madeleine
Cuivres au kiosque | 14h, Kiosque Parc Micaud
La Vertu dans la rue | 15h, Centre-ville
Danza | 16h & 17h, Cour du musée du Temps
Songs of Oblivion | 18h, Hangar aux manœuvres, Citadelle
Big band jazz | 19h, Place de la Révolution

Compagnie La Vertu
Claire Lamothe et Etienne Grebot, mise en scène
Camille Goudeau et La Vertu, textes et chansons originales

DÉAMBULATION MUSICALE

Cinq drôles de types, cinq musiciens déambulent de place en place, heureux et souriants, sans se poser de questions. Leur secret: la Vertu, qu’ils définissent par le sourire et l’équilibre. La Vertu, ils la chantent et la ressassent et la tournent à toutes les sauces, c’est une leçon qu’ils donnent en musique à leur public. Orchestre de rue mobile, avec un répertoire allant de l’opérette classique au jazz-rock en passant par la chanson, le tout sur des textes et musiques originaux, la compagnie la Vertu investit la boucle !

C’est une véritable fête de la musique qui va investir la boucle du Doubs pendant une journée. Kiosque du Parc Micaud, église de la Madeleine, places et rues piétonnes, cour du musée du Temps, Citadelle Vauban et place de la Révolution vont accueillir sept concerts gratuits de styles variés : du classique au jazz, des musiques du monde à la musique baroque mêlée au folk.

Quintette de cuivres, big band de jazz, clarinette et cordes, grand orgue et percussions, musique de rue en déambulation, tous ces artistes vous invitent à la découverte pour entamer ces deux folles semaines de Festival.

Le programme complet :

Orgue & percussions | 11h, Eglise de la Madeleine
Cuivres au kiosque | 14h, Kiosque Parc Micaud
La Vertu dans la rue | 15h, Centre-ville
Danza | 16h & 17h, Cour du musée du Temps
Songs of Oblivion | 18h, Hangar aux manœuvres, Citadelle
Big band jazz | 19h, Place de la Révolution

Amaury Viduvier clarinette
Ensemble Virtuoso

Œuvres de Vivaldi, Piazzolla, Debussy, Bizet, Brahms…

QUAND LE CLASSIQUE SE MÊLE AUX MUSIQUES DU MONDE

Danza est un passionnant voyage musical, riche et immersif, porté par la clarinette virtuose d’Amaury Viduvier et son ensemble à cordes. On se laisse captiver par la séduisante Carmen de Bizet ou par les couleurs chatoyantes de La Notte de Vivaldi. On passe des tangos langoureux de Piazzolla aux rythmes échevelés d’un klezmer d’Europe centrale, on se laisse gagner par l’émotion de la nostalgie du Fado. Danza est un mariage de traditions savante et orale où musique et danse ne font qu’un.

C’est une véritable fête de la musique qui va investir la boucle du Doubs pendant une journée. Kiosque du Parc Micaud, église de la Madeleine, places et rues piétonnes, cour du musée du Temps, Citadelle Vauban et place de la Révolution vont accueillir sept concerts gratuits de styles variés : du classique au jazz, des musiques du monde à la musique baroque mêlée au folk.

Quintette de cuivres, big band de jazz, clarinette et cordes, grand orgue et percussions, musique de rue en déambulation, tous ces artistes vous invitent à la découverte pour entamer ces deux folles semaines de Festival.

Le programme complet :

Orgue & percussions | 11h, Eglise de la Madeleine
Cuivres au kiosque | 14h, Kiosque Parc Micaud
La Vertu dans la rue | 15h, Centre-ville
Danza | 16h & 17h, Cour du musée du Temps
Songs of Oblivion | 18h, Hangar aux manœuvres, Citadelle
Big band jazz | 19h, Place de la Révolution

Amaury Viduvier clarinette
Ensemble Virtuoso

Œuvres de Vivaldi, Piazzolla, Debussy, Bizet, Brahms…

QUAND LE CLASSIQUE SE MÊLE AUX MUSIQUES DU MONDE

Danza est un passionnant voyage musical, riche et immersif, porté par la clarinette virtuose d’Amaury Viduvier et son ensemble à cordes. On se laisse captiver par la séduisante Carmen de Bizet ou par les couleurs chatoyantes de La Notte de Vivaldi. On passe des tangos langoureux de Piazzolla aux rythmes échevelés d’un klezmer d’Europe centrale, on se laisse gagner par l’émotion de la nostalgie du Fado. Danza est un mariage de traditions savante et orale où musique et danse ne font qu’un.

C’est une véritable fête de la musique qui va investir la boucle du Doubs pendant une journée. Kiosque du Parc Micaud, église de la Madeleine, places et rues piétonnes, cour du musée du Temps, Citadelle Vauban et place de la Révolution vont accueillir sept concerts gratuits de styles variés : du classique au jazz, des musiques du monde à la musique baroque mêlée au folk.

Quintette de cuivres, big band de jazz, clarinette et cordes, grand orgue et percussions, musique de rue en déambulation, tous ces artistes vous invitent à la découverte pour entamer ces deux folles semaines de Festival.

Le programme complet :

Orgue & percussions | 11h, Eglise de la Madeleine
Cuivres au kiosque | 14h, Kiosque Parc Micaud
La Vertu dans la rue | 15h, Centre-ville
Danza | 16h & 17h, Cour du musée du Temps
Songs of Oblivion | 18h, Hangar aux manœuvres, Citadelle
Big band jazz | 19h, Place de la Révolution

Ensemble Agamemnon
Lonny chant, guitare, codirection artistique
François Cardey, cornets, codirection artistique
Laurent Jacquier, arrangements

FOLK ET BAROQUE

Songs of Oblivion est une rencontre poétique entre la chanteuse folk Lonny et Agamemnon, ensemble spécialisé dans les musiques du XVII^e siècle. Mêlant répertoires anciens et modernes, ces instruments d’un autre temps, touchants dans leur originalité et leur étrangeté, portent et habillent cette voix doucement mélancolique. Tour à tour en anglais, français et italien, les œuvres baroques glissent vers des reprises d’artistes du XX^e siècle et des compositions de la chanteuse de folk, pour un moment musical suspendu.

C’est une véritable fête de la musique qui va investir la boucle du Doubs pendant une journée. Kiosque du Parc Micaud, église de la Madeleine, places et rues piétonnes, cour du musée du Temps, Citadelle Vauban et place de la Révolution vont accueillir sept concerts gratuits de styles variés : du classique au jazz, des musiques du monde à la musique baroque mêlée au folk.

Quintette de cuivres, big band de jazz, clarinette et cordes, grand orgue et percussions, musique de rue en déambulation, tous ces artistes vous invitent à la découverte pour entamer ces deux folles semaines de Festival.

Le programme complet :

Orgue & percussions | 11h, Eglise de la Madeleine
Cuivres au kiosque | 14h, Kiosque Parc Micaud
La Vertu dans la rue | 15h, Centre-ville
Danza | 16h & 17h, Cour du musée du Temps
Songs of Oblivion | 18h, Hangar aux manœuvres, Citadelle
Big band jazz | 19h, Place de la Révolution

Umlaut Big Band
Pierre-Antoine Badaroux, direction artistique, saxophone alto

UMLAUT BIG BAND JOUE MELBA LISTON

Fondé en 2011, cet orchestre de quatorze musiciens virtuoses a développé un répertoire de plus de 200 morceaux et sorti cinq albums. Il met en avant les arrangeurs créateurs de la musique pour Big Band, un format qui se prête idéalement à des explorations sonores riches. Ce concert propose le portrait musical d’une figure oubliée de l’histoire du jazz : Melba Liston (1926-1999). Tromboniste et arrangeuse au sein des orchestres de Dizzy Gillespie et Quincy Jones, elle a travaillé dans les studios de la Motown ou sur la scène jamaïcaine dans les années 1970, et a créé une musique d’une grande richesse.

C’est une véritable fête de la musique qui va investir la boucle du Doubs pendant une journée. Kiosque du Parc Micaud, église de la Madeleine, places et rues piétonnes, cour du musée du Temps, Citadelle Vauban et place de la Révolution vont accueillir sept concerts gratuits de styles variés : du classique au jazz, des musiques du monde à la musique baroque mêlée au folk.

Quintette de cuivres, big band de jazz, clarinette et cordes, grand orgue et percussions, musique de rue en déambulation, tous ces artistes vous invitent à la découverte pour entamer ces deux folles semaines de Festival.

Le programme complet :

Orgue & percussions | 11h, Eglise de la Madeleine
Cuivres au kiosque | 14h, Kiosque Parc Micaud
La Vertu dans la rue | 15h, Centre-ville
Danza | 16h & 17h, Cour du musée du Temps
Songs of Oblivion | 18h, Hangar aux manœuvres, Citadelle
Big band jazz | 19h, Place de la Révolution

Lili Boulanger
D’un matin de printemps

Piotr Ilitch Tchaïkovski
Variations sur un thème rococo op.33
Symphonie n°4 op.36

L’affiche est prestigieuse pour ce concert symphonique, avec l’Orchestre de Lucerne et une première invitation du chef Michael Sanderling. Après les douceurs printanières de Lili Boulanger, le programme propose deux visages de Tchaïkovski, maître russe de la symphonie romantique. Pour commencer, virtuosité et couleurs contrastées avec les Variations Rococo – avec en soliste la star du violoncelle Edgar Moreau –, puis en seconde partie le caractère dramatique, fantastique et lyrique de la quatrième symphonie, toute imprégnée du thème du destin cher au cœur du compositeur, œuvre magistrale qui demeure un sommet du répertoire orchestral.

Robert Schumann
Sonate n°3 Wo0 2

Clara Schumann
Trois Romances op.22

Eugène Ysaÿe
Caprice d’après l’Etude en forme de valse op.52 de Camille Saint-Saëns

Erik Satie
Gymnopédie n°1
Gnossienne n°1

Maurice Ravel
Sonate pour violon et piano

C’est un superbe programme que nous proposent Yann Passabet-Labiste et Bertrand Giraud. Tout d’abord, une des œuvres de Schumann écrite dans ses derniers mois de lucidité, tourmentée, vive et palpitante, en miroir du joyau musical universel de Ravel, où l’expérimentation de nouvelles formes (blues, mouvement perpétuel) renvoie à une époque où recherche et émotion ne faisaient qu’un. D’autres pépites complètent ce parcours : le très virtuose Caprice d’Ysaÿe, deux pièces célèbres et nostalgiques de Satie, et trois romances lyriques et inspirées de Clara Schumann.

Camille Pépin
Avant les clartés de l’aurore

Richard Strauss
Concerto pour hautbois et orchestre HN 1248

Félix Mendelssohn
Le songe d’une nuit d’été, suite instrumentale

L’Orchestre Dijon Bourgogne, sous la direction de Joseph Bastian, invite la virtuose Céline Moinet pour un voyage musical envoûtant. Le programme s’ouvre avec une œuvre lumineuse et impressionniste de Camille Pépin, inspirée par un quatrain de Pouchkine. Suivra le concerto de Strauss, d’une élégance intemporelle dans sa forme classique, mais exigeant pour la soliste. Après l’entracte, plongeons dans la féerie de la suite instrumentale de Félix Mendelssohn, évocatrice de rêves et de magie. Un concert entre aurore et nuit étoilée !

Maurice Duruflé
Quatre Motets sur des thèmes grégoriens

Vytautas Miškinis
Quatre Motets en mémoire de Maurice Duruflé

Francis Poulenc
Messe en sol majeur

Ralph Vaughan Williams
Messe en sol mineur

Olivier Messiaen
O Sacrum Convivium

Pierre Villette
O Sacrum Convivium op.27

Créé en 2017, l’Ensemble la Sportelle est l’ambassadeur de l’esprit si particulier de Rocamadour, appelé à se mettre au service du répertoire sacré. Regroupant trois compositeurs majeurs – Duruflé, Poulenc et Messiaen – ce concert, où l’influence du chant grégorien est prédominante, met en écho leurs œuvres magnifiques avec celles moins connues de Miškinis, Vaughan Williams et Villette. Le chef anglais Nigel Short, qui a enthousiasmé les festivaliers en 2023 et 2024, fera vivre au public une expérience hors norme, celle de la pureté du son ciselée par les grands maîtres français du XX^e siècle, notamment avec la Messe en sol de Poulenc qui nous touche au cœur.

Maurice Duruflé
Quatre Motets sur des thèmes grégoriens

Vytautas Miškinis
Quatre Motets en mémoire de Maurice Duruflé

Francis Poulenc
Messe en sol majeur

Ralph Vaughan Williams
Messe en sol mineur

Olivier Messiaen
O Sacrum Convivium

Pierre Villette
O Sacrum Convivium op.27

Nouvelle occasion de découvrir ce jeune ensemble vocal, créé dans le cadre du Festival de Rocamadour, et dirigé par le chef anglais Nigel Short. Au cœur du programme, la bouleversante Messe en sol de Poulenc, œuvre aux harmonies riches et à l’expressivité méditative, alliant une gravité spirituelle à une humilité saisissante. Le répertoire s’enrichit d’autres trésors chorals signés par les maîtres français Duruflé et Messiaen ainsi que d’autres compositeurs marqués par l’influence du chant grégorien. D’une mélodie simple naît une polyphonie qui se déploie et surprend, magnifiée par une spatialisation et l’acoustique exceptionnelle de la cathédrale Saint-Jean.

Germaine Tailleferre
Notturno

Dora Pejačević
Nocturne n°1 op.50

Jean-Sébastien Bach
Variations Goldberg BWV988

Ludwig van Beethoven
Sonate pour piano n°23 op.57 « Appassionata »

Sergueï Prokofiev
Sonate pour piano n°7 op.83

Musicien sensible et inspiré, le pianiste francolibanais Abdel Rahman El Bacha fait partie des plus grands. Pour ce récital, il nous propose deux monuments du répertoire pianistique : les Variations Goldberg, apogée des compositions pour clavier de Bach, suivies de la sonate Appassionata de Beethoven, « œuvre plus grande que ses plus grandes symphonies, supérieure à tout ce que l’art musical a jamais produit » selon Berlioz. En ouverture, deux nocturnes méconnues de compositrices et pour finir ce récital, la plus célèbre des sonates de Prokofiev, empreinte de rage, d’angoisse et de lyrisme.

Amaury Faye, piano
David Grebil, batterie
Edouard Pennes, contrebasse
Romain Vuillemin, guitare solo, chant

JAZZ VOCAL / SWING

Romain Vuillemin Sings the Great American Songbook.

Romain Vuillemin est avant tout un guitariste spécialiste du swing manouche. Le voilà au chant dans ce programme qui s’éloigne clairement du style de Django Reinhardt autour des grandes chansons américaines de la première moitié du XX^e siècle : Cole Porter, Irving Berlin, Duke Ellington, Fats Domino et son « Blueberry Hill » et des traditionnels de New Orleans. Entouré de trois solides compagnons jazzmen accomplis, il livre en crooner sensible une agréable promenade dans ces standards intemporels, nous proposant aussi ses chorus de guitare dont il est un orfèvre. En grand amateur de l’instrument, il joue souvent avec des guitares anciennes de l’époque (années 30 à 50) sur certains de ces standards.

Régis Campo
The Wonder of Life, d’après un choral de Bach

Dmitri Chostakovitch
Symphonie n°5 op.47

C’est un voyage musical entre modernité et héritage classique que nous propose Jean-François Verdier, porté par l’élan passionné de l’Orchestre Victor Hugo. Au programme : The Wonder of Life, œuvre inspirée d’un célèbre choral de Bach, qui répond au désir de Régis Campo « de partager une lumière positive, une musique pulsée, ouverte et joyeuse ». S’ensuivra la magistrale cinquième symphonie de Chostakovitch. Caractérisée par une intensité dramatique et une beauté saisissante, cette symphonie mêle également humour, grandeur et profonde réflexion, elle a été une réponse créative aux critiques des autorités soviétiques.

Le Festival est partenaire de la Carte Avantages jeunes.
Porteurs de la carte ? Bénéficiez d’une place pour ce concert à 6€

Valable uniquement au guichet, sur présentation de la carte

Igor Hasselmann, guitare, compositions
Paul L’Hôte, batterie
Julien Lhuillier, sax ténor
Victor Pierrel, basse

JAZZ

Igor Hasselmann propose avec ce quartet un répertoire original avec ses dernières compositions : un jazz qui offre des esthétiques variées naviguant entre tradition et contemporanéité. Les mélodies lyriques contrastent avec des climats sombres, les harmonies cherchent l’effet de surprise tandis que la rythmique installe des modes de jeu où la complicité des musiciens se révèle. Enfin, la musique évidente ou singulière permet à l’improvisation d’appuyer l’écriture. Le quartet explore ainsi les diverses possibilités du jazz sans jamais manquer de se renouveler. Les quatre musiciens sont originaires de la région (Belfort, Besançon, Vesoul) et ont tous élargi leurs horizons en jouant dans d’autres formations ou en s’engageant dans l’enseignement.

Maurice Ravel
Tzigane, rhapsodie de concert pour violon et orchestre

Béla Bartók
Musique pour cordes, percussion et célesta

Igor Stravinsky
L’Oiseau de feu

Maurice Ravel
Boléro, musique de ballet

Quel plaisir de retrouver l’Orchestre national d’Île-de-France et son directeur musical, pour un programme indubitablement puissant et éclectique. La violon solo Ann-Estelle Médouze ouvre la soirée avec Tzigane de Ravel, rhapsodie captivante. Puis Bartók et sa musique saisissante, d’une atmosphère presque cinématographique, explore des sonorités inédites tout en puisant dans le folklore hongrois. Après l’entracte, place à l’exubérant Oiseau de feu de Stravinsky, envoûtant et rythmé, offrant un tourbillon sonore qui nous transporte dans un univers féerique et tumultueux. Enfin, l’incontournable Boléro de Ravel célèbre la répétition hypnotique dans une montée en puissance spectaculaire.

Propos d’avant concert avec Jean-Michel Mathé
Accès libre. Dans la limite des places disponibles.

Jeudi 18 septembre ∙ 18 h
Kursaal, salle Proudhon ∙ Besançon

TANGO CONTEMPORAIN

Fleurs Noires est un orchestre composé de dix musiciennes argentines et françaises, qui livrent un tango vigoureusement contemporain se démarquant du tango traditionnel ou électro. Les compositions originales de la pianiste Andrea Marsili prennent l’essence du tango pour la transformer en un langage actuel, avec une touche résolument moderne. Il s’en dégage une force sensuelle, insolente et passionnée qui est le fruit de la diversité de leurs racines. Fleurs Noires ravive l’axe historique Paris – Buenos Aires en émancipant la place de la femme dans une musique faite originellement par des hommes ! Pour cette soirée au Grand Kursaal, Fleurs Noires invite Mandy Lerouge au chant et Minino Garay aux percussions.

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Mathieu Chatelain, guitare rythmique
Esteban Félix, contrebasse
Adrien Marco, guitare soliste

JAZZ MANOUCHE / SWING

Fin et puissant soliste, le guitariste Adrien Marco est un autodidacte qui débute la guitare à 17 ans, en découvrant par hasard la musique de Django Reinhardt. Son jeu fulgurant et d’une rare sensibilité font de lui une des fines lames de la guitare dans ce style. Son trio suit cette veine, tout en apportant son identité forte. Adrien Marco au son unique, identifiable entre mille, pose sa signature avec un jeu vif, aérien, et précis, avec l’excellente section rythmique pour l’accompagner : Mathieu Chatelain à la rythmique et Claudius Dupont à la contrebasse. Poursuivant ainsi son évolution, le trio compte aujourd’hui parmi les références dans le style Jazz manouche/swing. Adrien Marco joue une guitare Jérôme Duffell.

CARTE BLANCHE À RÉGIS CAMPO

Œuvres de Régis Campo, Pascal Zavaro, Caroline Shaw, Francis Poulenc, Arvo Pärt, Josephine Stephenson, Luciano Berio et Alice Chance

L’ensemble vocal Sequenza 9.3 et sa charismatique cheffe de chœur ont donné une « carte blanche » vocale au compositeur en résidence Régis Campo. Ce programme a cappella mêle œuvres contemporaines et classiques du XX^e siècle pour un voyage vocal éclectique, entre l’intériorité d’Arvo Pärt, l’explosivité des polyphonies inspirées de la Renaissance (Zavaro, Berio), de la chanson populaire et des cris des rues de Marseille ou de Londres : plusieurs pièces de Régis Campo et de belles découvertes de compositrices complètent cette soirée lumineuse où s’entrelacent poésie, émotion et modernité !

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Valable uniquement au guichet, sur présentation de la carte

NUEVA CANCIÓN D’AMÉRIQUE LATINE

Réunis depuis 2013, les musiciens de Vidala s’inspirent de chants populaires et de la Nueva Canción d’Amérique Latine, issue du folklore argentin, qui chante les grands espaces andins et l’intime des êtres qui les occupent. Avec les grands auteurs de la Nueva Canción, la poésie andine et la musique traditionnelle sud-américaine se mêlent alors à la critique sociale. Vidala a choisi d’arranger de manière résolument moderne les chansons choisies : le bootleneck côtoie le bombo traditionnel argentin, les tambours batá de Cuba s’invitent dans les chansons argentines ou chiliennes.

Pascal Zavaro
Déjeuner sur l’herbe

Francis Poulenc
Les Tisserands

Régis Campo
Soleils couchants
Les Cris de Marseille

Luciano Berio
Cries of London (extraits)

CONCERT COMMENTÉ SPÉCIAL FAMILLE, À PARTIR DE 6 ANS

Découvrez l’univers de l’instrument le plus naturel et universel, la voix ! Sopranos, mezzos, ténors, barytons ou basses forment un octuor vocal riche et plein de ressources. Catherine Simonpietri, avec la complicité de notre compositeur en résidence, Régis Campo, propose un programme qui illustre l’utilisation de la voix dans des registres très différents : humour, onomatopées, chanson française, univers sonores planants ou jaillissants… Ce moment musical est ouvert à tous les publics et aux enfants à partir de 6 ans (tarif spécial).

Damien Groleau, piano
Stéphane Kumor, trompette
Tom Moretti, batterie
Victor Pierrel, basse
Renan Richard-Kobel, saxophone

JAZZ FUSION GROOVY

Tom’s Tricks emporte le public dans un trip mélodique et sensoriel au groove imparable. De l’alchimie de ces cinq musiciens jaillit une musique singulière, électrique, acoustique, jazz, tribal, qui réveille le corps et l’esprit de celui qui écoute. Leurs influences vont de Weather Report à Miles Davis, Magma, Zappa, Head Hunters, en passant par la culture africaine, le classique, le funk et le jazz en général.

Le groupe se forme en trio avec Tom Moretti le batteur, Victor Pierrel à la basse et Damien Groleau au piano, puis évolue à l’occasion de l’enregistrement d’un premier album avec l’arrivée de Stéphane Kumor à la trompette et Renan Richard-Kobel au saxophone.

Charlotte Sohy
Thème varié op.15 pour violon et orchestre

Robert Schumann
Concerto pour violon et orchestre Wo0 23

Ludwig van Beethoven
Symphonie n°6 op.68 « Pastorale »

Quel bonheur d’accueillir de nouveau l’Orchestre de Chambre de Lausanne et Renaud Capuçon, au violon et à la baguette, pour un concert captivant mêlant émotion et virtuosité. La soirée s’ouvre avec Thème varié de Charlotte Sohy, une œuvre rare et élégante qui met en valeur le violon, suivie du concerto de Schumann, chef-d’œuvre intemporel où le soliste déploie toute la richesse expressive du violon. Enfin, la « Pastorale » de Beethoven, éclatante de fraîcheur et de sérénité, peint un tableau musical de la nature, entre chants d’oiseaux, murmures de ruisseaux et tempêtes soudaines.

Œuvres de Bach, Mozart, Haydn, Mendelssohn, Schubert, Webern, Beethoven, Bartók, Régis Campo, Ravel, Debussy, Germaine Tailleferre, Chostakovitch, Schumann, Dvořák …

L’univers du quatuor à cordes, considéré comme la forme la plus pure et équilibrée de la musique de chambre, permet une exploration infinie de nuances, de textures et de tensions. Chaque compositeur, de Haydn à Chostakovitch en passant par Schubert et Bartók, a apporté sa propre vision de cet art, espace musical intime et fascinant pour l’expression de la sensibilité et de l’innovation musicale. Le Quatuor Parisii nous propose un vaste panorama de quatre siècles de chefs-d’œuvre, accompagné de brèves et précieuses présentations, en deux parties séparées par un grand entracte convivial.

Igor Stravinsky
Pulcinella, suite extraite du Ballet

C’est ici que tout commence pour les vingt candidates et candidats sélectionnés au printemps.

Face à l’Orchestre Victor Hugo et sous les yeux du jury et du public, ils devront faire preuve de maîtrise technique, de sens du dialogue avec les musiciens, mais surtout de précision et de finesse avec Stravinsky et son ballet Pulcinella. Après les audaces du Sacre du printemps, Stravinsky semble se tourner vers le passé, inspiré par Pergolèse et la commedia dell’arte, réalisant une musique merveilleusement raffinée et ironique, avec des trouvailles stravinskiennes (donc un peu diaboliques !) sous une apparence néoclassique.

Deux séances de travail en public :  14h30 & 20h

Fondé en 1951 sous l’égide du Festival de musique de Besançon Franche-Comté, le Concours international de jeunes chefs d’orchestre s’est rapidement imposé comme la plus prestigieuse manifestation de sa catégorie. Annuel jusqu’en 1992, il a depuis adopté un rythme biennal.

Répertoire classique, romantique, du XXᵉ siècle, musique contemporaine, opéra, concerto… Il n’est pas un concours de direction au monde plus complet que celui de Besançon.

Felix Mendelssohn
Symphonie n°3, « Écossaise » op.56

Depuis 2021, les candidat(e)s participent aux deux premières épreuves du Concours, l’occasion de diriger deux répertoires très différents. Après Stravinsky, les jeunes chef(fe)s devront s’illustrer dans la musique romantique du jeune Mendelssohn qui se distingue par son atmosphère mélancolique et ses accents héroïques, reflétant l’histoire et les paysages sauvages de l’Écosse où il a effectué un voyage en 1829. C’est aussi une période où Mendelssohn s’affirme en tant que chef d’orchestre et compositeur respecté en Europe, tout en cherchant à enrichir le répertoire orchestral de son époque.

Deux séances de travail en public : 14h30 & 20h

Fondé en 1951 sous l’égide du Festival de musique de Besançon Franche-Comté, le Concours international de jeunes chefs d’orchestre s’est rapidement imposé comme la plus prestigieuse manifestation de sa catégorie. Annuel jusqu’en 1992, il a depuis adopté un rythme biennal.

Répertoire classique, romantique, du XXᵉ siècle, musique contemporaine, opéra, concerto… Il n’est pas un concours de direction au monde plus complet que celui de Besançon.

Entrez dans les coulisses du Concours et découvrez comment le choix du jury se construit au fur et à mesure des épreuves.

Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Wolfgang Amadeus Mozart
Così fan tutte (extraits)

L’épreuve d’opéra est souvent redoutée par les candidat(e)s qui n’ont que rarement acquis une expé- rience lyrique. La configuration est particulière et inconfortable avec l’orchestre dans la fosse et les chanteurs sur le plateau : il faut créer un lien fluide entre les deux, diriger et accompagner.

Le président du jury propose un incontournable, le dernier des opéras de Mozart écrit en collabo- ration avec Da Ponte. Dans la fosse, l’Orchestre Dijon Bourgogne, formation habituée au répertoire lyrique, est pour la deuxième fois invité à s’associer au Concours. Sur scène, quatre jeunes chanteurs sélectionnés parmi les grands étudiants et lauréats de l’École Normale de Musique de Paris.

Fondé en 1951 sous l’égide du Festival de musique de Besançon Franche-Comté, le Concours international de jeunes chefs d’orchestre s’est rapidement imposé comme la plus prestigieuse manifestation de sa catégorie. Annuel jusqu’en 1992, il a depuis adopté un rythme biennal.

Répertoire classique, romantique, du XXᵉ siècle, musique contemporaine, opéra, concerto… Il n’est pas un concours de direction au monde plus complet que celui de Besançon.

Hector Berlioz
Rêverie et Caprice op.8, pour violon et orchestre

Camille Saint-Saëns
Introduction et Rondo capriccioso op.28, pour violon et orchestre

L’épreuve de concerto nécessite des compétences spécifiques à la baguette : attention mutuelle, approche stylistique, équilibre entre orchestre et soliste… Au programme, deux compositeurs français avec des pièces concertantes plutôt délicates à accompagner. Rêverie et Caprice est une des rares œuvres pour soliste de Berlioz, sauvée de son opéra Benvenuto Cellini. La pièce de Saint-Saëns comprend une sérénade mélancolique en guise d’Introduction, suivi d’un Rondo joyeux et virtuose. Nicolas Dautricourt, grand ami du Festival, se prête avec enthousiasme à cet exercice, accompagné de nos amis de l’Orchestre Victor Hugo toujours très impliqués dans le Concours.

Fondé en 1951 sous l’égide du Festival de musique de Besançon Franche-Comté, le Concours international de jeunes chefs d’orchestre s’est rapidement imposé comme la plus prestigieuse manifestation de sa catégorie. Annuel jusqu’en 1992, il a depuis adopté un rythme biennal.

Répertoire classique, romantique, du XXᵉ siècle, musique contemporaine, opéra, concerto… Il n’est pas un concours de direction au monde plus complet que celui de Besançon.

Cécile Chaminade
Callirhoë, suite de ballet op.37

Joseph Canteloube
Chants d’Auvergne (sélection)

Gustav Mahler
Symphonie n°4

Michael Schønwandt, président du jury du Concours, reprend la baguette pour ce concert placé sous le signe de l’amour et de la vie céleste… Pour Cécile Chaminade, l’amour n’est pas facile : dans sa musique de ballet, la princesse Callirhoë, captive, lutte pour enfin être ramenée à la vie. Le bonheur est sans doute plus facile dans les chants de Canteloube inspirés par les mélodies populaires et les vastes paysages ensoleillés d’Auvergne. Enfin, la Symphonie n°4 de Mahler, joyau de lyrisme et de poésie, nous transporte dans un univers divin où la lumière, l’innocence et la quête de l’au-delà se mêlent à la grandeur de la nature humaine.

Joaquin Turina
Circulo, Fantaisie pour trio avec piano op.91

Antonin Dvořák
Trio pour piano et cordes n°4 op.90 « Dumky » (extraits)

Et œuvres de Tomás Gubitsch

Le Trio Talweg s’associe au guitariste et compositeur Tomás Gubitsch pour un concert fusionnant subtilement les genres jazz, classique et tango dans une performance vibrante et éclectique. Au programme : une fantaisie du compositeur espagnol Joaquin Turina, imprégnée de musiques populaires, deux mouvements du Trio « Dumky » de Dvořák, œuvre majeure du répertoire, à la fois complainte bohémienne et danse joyeuse, et des compositions originales de Gubitsch très inspiré par différents types de danses (principalement le tango) qu’il revisite avec brio, caractère et singularité.

MUSIQUE D’ARMÉNIE

Arsen Petrosyan est devenu l’un des plus importants ambassadeurs du duduk arménien, tout en trouvant son propre style et son expression. Avec son ensemble, il interprète de la musique traditionnelle arménienne classique, traversant les époques et les genres mettant en lumière le duduk mais aussi le qanun, le santur et le tambour dhol. Le quartet nous emmène dans un voyage émotionnel au cœur des montagnes, parcourant des paysages incroyablement beaux, avec une touche de mélancolie.

Rebecca Clarke
Trio pour piano, violon et violoncelle

Franz Schubert
Trio n°2 op.100

Le Festival est heureux d’accueillir trois grands solistes français formant un trio remarquable. Au programme, une redécouverte et un chef-d’œuvre de la musique de chambre, sublimés par l’acoustique généreuse du Kursaal. Le trio de Rebecca Clarke, œuvre émotive et riche en tensions, permet un dialogue fascinant entre les instruments dans une exploration vibrante de l’intimité et de l’expression musicale. Il sera suivi du second trio de Schubert, œuvre sublime et pleine de contrastes, qui mêle élégance et émotion, avec des mélodies poignantes et des harmonies raffinées, offrant un voyage musical à la fois intime et exaltant.

Hector Berlioz
Béatrice et Bénédicte, ouverture

Régis Campo
Delirium Scherzo, création, commande du Concours

Serge Prokofiev
Roméo et Juliette op.64 (extraits)

C’est l’épreuve ultime pour les trois candidat(e)s finalistes, cette fois en condition de concert, avec un programme enthousiasmant. Berlioz d’abord, avec une ouverture qui nous introduit dans l’univers léger et fantasque de son dernier opéra-comique. Puis la création de Régis Campo, vaste crescendo sonore et emballement rythmique, avec évidemment une pointe d’humour. Enfin, le chef-d’œuvre de Prokofiev, partition d’une incroyable imagination de thèmes et de rythmes où les sentiments sont exacerbés et les passions extrêmes. Une Finale bouillonnante en perspective !

Retransmission de la Finale en direct

– sur internet : rendez-vous sur notre page YouTube
– sur écran géant à Besançon, Place Granvelle (plein air, accès libre, repli au Petit Kursaal en cas d’intempéries)

Fondé en 1951 sous l’égide du Festival de musique de Besançon Franche-Comté, le Concours international de jeunes chefs d’orchestre s’est rapidement imposé comme la plus prestigieuse manifestation de sa catégorie. Annuel jusqu’en 1992, il a depuis adopté un rythme biennal.

Répertoire classique, romantique, du XXᵉ siècle, musique contemporaine, opéra, concerto… Il n’est pas un concours de direction au monde plus complet que celui de Besançon.

Cette année encore, la cérémonie officielle de remise des prix du Concours s’ouvre au grand public ! Que vous ayez assisté à la Finale au Théâtre Ledoux, sur l’écran géant installé Place Granvelle ou sur internet depuis votre canapé, nous vous donnons rendez-vous au Grand Kursaal pour un moment de suspense et d’émotion. La cérémonie sera présentée par Clément Rochefort (cérémonie traduite en simultané en anglais).

Dès 19h, échangez vos pronostics autour d’un verre avant d’assister à la remise des prix officielle en présence de tous les membres du jury, des candidat(e)s finalistes, des grands partenaires et des médias.

À PARTIR DE 19H
accueil, bar et petite restauration au Club du Festival

20H
cérémonie officielle de remise des prix présentée par Clément Rochefort